pour les détracteurs !

Je traîne mes petites pattes dans la boue.
Je me tiens déjà debout .
Et vous criez au Loup!
Mon père me donne encore le biberon, que je lorgne sur la viande saignante.
J’enfile déjà mon premier plastron.
Mon sourire carnassier laisse apparaître mes crocs, je vais vous mettre tous au diapason!!
Vous me regardez de haut.
Vos yeux laissent saigner des larmes.
Mes crocs se serrent, je prend les armes.
J’ai quarante ans, la rage s’empare de moi.
Je vous haie, vous êtes laids, vous n’avez pas mon doux pelage argenté, royale et bestial!
Mon torse prend de l’ampleur et vos regards embrassent le sol par la peur!
Mes canines vous lacèrent, le sang gicle.
Vos tripes en ma mâchoire.
Je vous déguste, puis je vous régurgite.
Je vous regarde depuis mon trône.
Vos vilaines dépouilles puent la défaite!!les mouches seules aiment vous courtiser.
Dans votre mort je viendrais vous tourmenter.

*lève la patte arrière et se laisse aller, finie. Gratte le sol de trois coups de pattes pour recouvrir et faire place net*

Pff!!! Victimes de votre frustration, de ne pas être bestial!!«