Si l'on se considère,
Comme une poussière,
A l'échelle de l'univers,
Nous sommes à celle de la Terre,
Son ultime régisseur.
Nous la faisons vivre,
Mourir, guérir au fil des heures.
Certains se contentent de survivre,
Alors que d'autres préfèrent l'évolution,
Tels que les papillons.
A l'opposé
D'autres préfèrent
Rester sans évoluer,
A un stade primaire.
Ensuite, le monde est gouverné
Des sentiments par poignées.
A la tête de ceux-ci,
On retrouve la haine, la jalousie,
Qui sans nous détromper,
De leur visages de givre,
Nous montre la voie à suivre
Pour atteindre les sommets.
Ainsi, l'Homme a fait la Terre,
Lui a forgé un caractère.
On s'identifie aux bêtes,
Nous marchons sur leurs pas
Sans connaître leur bien-être.
Bien différent de celui recherché,
Il ne nous correspond pas.
C'est un havre de paix.
L'Homme a depuis longtemps plongé dans la barbarie,
De laquelle il ne ressortira qu'a la mort sur son lit.